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vendredi 2 février 2024

The stranger of Galillee (1893) / L'Etranger de la Galilée (CGG 48)



Auteur et compositeur : Lelia N. Morris (1862-1929)
Auteur du cantique français : Gustave Isely (1879-1954)

1 Un jour, je me trouvais au bord de la mer,
De la belle mer murmurante ;
J'ai vu les grandes foules se presser sur le chemin
De l'étranger de Galilée ;
J'ai vu comment l'homme aveugle de naissance
En un instant fut rendu à la vue ;
Le boiteux a été guéri grâce à l'habileté incomparable
De l'étranger de Galilée.
Refrain 1-3 :
Et j'ai senti que je pouvais l'aimer pour toujours,
Il était si gracieux et si tendre !
Ce jour-là, je l'ai proclamé mon Sauveur,
Cet étranger de Galilée.

2 Son regard de compassion, ses paroles d'amour,
Ne seront jamais oubliés ;
Lorsqu'il m'a vu, malade et sans défense, malade du péché,
Cet étranger de Galilée ;
Il m'a montré sa main et son côté déchiré,
Et il a murmuré : "C'était pour toi !"
Mon fardeau est tombé aux pieds transpercés
De l'étranger de Galilée. Refrain

3 Je l'ai entendu parler de paix aux flots déchaînés,
De cette mer agitée et déchaînée ;
Et voici qu'à sa parole les eaux s'apaisent,
Cet étranger de Galilée ;
Un calme paisible, un calme tranquille, un calme saint,
Maintenant et toujours, il demeure avec moi ;
Il tient ma vie dans ses mains puissantes,
Cet étranger de Galilée. Refrain

4 Venez, vous qui êtes accablés par la tempête, Et voyez son salut bienveillant !
Et voyez son salut gracieux ;
Il apaisera les tempêtes de la vie avec son "Paix, sois tranquille !"
Cet étranger de Galilée ;
Il me demande de partir et de raconter l'histoire...
Ce qu'il sera toujours pour vous,
Si seulement vous le laissez demeurer avec vous,
Cet étranger de Galilée.
Refrain 4 :
Oh, mon ami, ne l'aimes-tu pas pour toujours ?
Il est si gracieux et si tendre !
Accepte-le aujourd'hui comme ton Sauveur,
Cet étranger de Galilée.

Paroles du cantique français : 
1 En rêve, j’allais près du lac m’asseoir, 
Où la rive était isolée, 
À l’heure où descend la fraîcheur du soir 
Des montagnes de Galilée. 
Et là, je voyais parfois l’Étranger, 
Familier de la solitude 
L’ami du pécheur et du péager, 
Entouré de la multitude. 
Je le suis, je l’écoute et je l’aime, 
Mais comment lui prouver mon amour ? 
Seulement pas le don de moi-même 
M’engageant à le servir toujours. 
 
2 Alors, au matin, je voulus savoir 
Ce que dit de lui l’Écriture : 
C’est là qu’on l’entend, là qu’on peut le voir 
Se donnant à nous sans mesure. 
Il vit et il meurt en portant nos maux, 
Il rachète une race vile. 
Récits émouvants, merveilleux tableaux ! 
Quel Sauveur et quel Évangile ! Refrain
 
3 Je l’ai retrouvé, et toujours pareil, 
Dans le fond de ma conscience, 
Sagesse, lumière, secours, conseil. 
Il m’instruit dans sa connaissance. 
Sa voix, son regard, son pouvoir, son cœur, 
Tout en lui me surprend, m’attire : 
Qu’il juge, et je suis tout saisi de peur, 
Qu’il pardonne, et j’ai son sourire.  Refrain
 
4 Dès lors, il n’est plus l’Étranger lointain 
Entrevu dans ma solitude, 
Un rêve, un espoir, l’idéal humain, 
Mais la vie et la certitude. 
Jésus, Fils de Dieu qui mourus en croix, 
À tes pieds, que ma foi s’écrie : 
Quiconque t’a vu se repend et croit 
A déjà l’éternelle vie ! Refrain