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mercredi 14 juillet 2021

We have sung our songs (1997) / Nous avons chanté (ASAPH)

Auteur et compositeur : Stuart Townend (20e siècle)

1 Nous avons chanté nos chants de victoire, nous t'avons prié pour la pluie ;
Nous avons imploré ta compassion pour renouveler la terre à nouveau.
Maintenant, nous nous tenons en Ta présence, plus affamés qu'avant ;
Nous sommes sur Tes marches de la miséricorde, et nous frappons à ta porte.
Combien de temps avant que Tu ne détrempes la terre stérile ?
Quand verrons-nous ta main juste ?
Combien de temps avant que Ton nom soit élevé ?
Combien de temps avant que les pleurs ne se transforment en chants de joie ?

2 Seigneur, nous savons que Ton cœur est brisé par le mal que tu vois,
Et tu as suspendu ta main de jugement car tu as l'intention de libérer les hommes.
Mais le pays est encore dans les ténèbres, et nous avons fui ce qui est juste ;
Nous avons laissé tomber les enfants silencieux qui ne verront jamais la lumière.

3 Mais je sais qu'un jour vient quand les sourds entendront sa voix,
Quand les aveugles verront leur Sauveur, et que les boiteux sauteront de joie.
Quand la veuve trouvera un époux qui aimera toujours son épouse,
Et que l'orpheline trouvera un père qui ne la quittera jamais.

Combien de temps avant que Ta gloire n'illumine les cieux ?
Combien de temps avant que Ton éclat n'élève nos yeux ?
Combien de temps avant que Ton parfum n'emplisse l'air ?
Combien de temps avant que la terre ne résonne de chants de joie ?

Paroles du cantique français :
1 Nous avons chanté la victoire, avons prié pour la pluie, 
Imploré que ta compassion renouvelle ce pays. 
Aujourd’hui dans ta présence, nous avons soif de toi. 
Seigneur de miséricorde, nous voici devant ta porte. 
Combien de jours attendrons-nous la pluie ? 
Combien, avant que nous voyions ta main ? 
Combien, pour que ton nom soit élevé ? 
Combien, pour que les pleurs se changent en chants de joie ? 
 
Nous savons que tu vois le mal, que ton cœur en est brisé. 
Pourtant tu attends pour juger, car tu veux nous libérer. 
Ce pays est dans les ténèbres, nous délaissons tes voies, 
Insensibles au cri des enfants qui ne verront pas le jour. 
 
3 Mais je sais que le jour viendra où l’aveugle te verra, 
Où le sourd entendra ta voix et le boiteux bondira, 
Où la veuve aura un mari qui l’aimera sans fin, 
L’orphelin aura un père qui le tiendra par la main. 
Combien de jours attendrons-nous ta gloire ? 
Combien, avant que nous voyions ta face ? 
Combien, pour que nous sentions ta présence ? 
Combien, pour que la terre éclate en chants de joie ?