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vendredi 30 décembre 2022

Knocking, knocking, who is there? / On frappe ! on frappe ! entends-tu ? (Chants de Victoire 83 / AF 222) / Passant, si tard que veux-tu? (Hymnes et louanges 246)

Auteur : Harriet Beecher Stowe (1811-1896)
Compositeur pour CV : George F. Root (1820-1895)
Compositeur pour AF : Edwin Othello Excell (1851-1921)
Auteur du cantique français : Ruben Saillens (1855-1942) et inconnu

1 Quelqu'un frappe, quelqu'un frappe, qui est là ?
Il attend, il attend, comme c'est beau !
C'est un pèlerin, étrange et royal,
On n'en a jamais vu de pareil ;
Ah ! mon âme, pour une telle merveille
Ne veux-tu pas ouvrir la porte ?
Ne veux-tu pas ouvrir la porte ?

2 Frappant, frappant à la porte, il est toujours là,
Attendant, attendant, merveilleusement beau ;
Mais la porte est difficile à ouvrir,
Car les mauvaises herbes et le lierre
Avec leurs vrilles sombres et accrocheuses
Toujours autour des charnières, deux fois,
Toujours autour des gonds, deux fois.

3 Frappant, frappant à la porte, quoi ! Toujours là ?
Attendant, attendant, grand et beau ;
La main blessée frappe encore,
Et sous la chevelure d'épines
Les yeux patients, si tendres, brillent,
De ton Sauveur qui attend là ;
Veux-tu le faire attendre là ?
Voici les paroles de l’autre cantique français : 
1 Passant, si tard que veux-tu?
Qui donc ici cherches-tu?
Pourquoi, voyageur étrange,
À ma porte es-tu venu?
N’es-tu pas quelque saint ange
Sur la terre descendu?

2 C’est moi, c’est moi, ton Sauveur!
Je veux entrer dans ton coeur.
Pourquoi me laisser attendre?
Ouvre, c’est un bienfaiteur,
Qui chez toi s’offre à répandre
Tous les trésors du bonheur.

3 Vraiment! Vraiment! C’est sa voix;
C’est lui! C’est lui! Je le vois.
Oh! Ta grâce est la plus forte,
Mon Sauveur, je te reçois.
Je ne puis fermer la porte,
Quand tu me montres ta croix.